La section Aïkido

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Ancien Dojo - Saison 1978/1979

 
La section Aïkido fut créée en 1973 par Bernard Choulot (élève de Maître Noro sur Paris) qui assura l'enseignement jusqu'en 1990.
 
Section adultes
 
Lors du départ de Bernard Choulot, un de ses élèves, Jean-Pierre Voisin prendra sa suite jusqu'en 1998.
Lui succèdera Georges Vaquier, également élève de Bernard Choulot.
Depuis Septembre 2018, Franck Muria à repris la section à son tour.
 
Section enfants
 
Créée par Christian Coquart élève de Bernard Choulot, elle fut transmise à Raymond Belen, élève de Georges Vaquier.
Lui succèdera Franck Courjou, élève de Raymond Belen, en Septembre 2018.
 
Trois de leurs élèves, formés en grande partie dans le club de Saint Jean de la Ruelle, Franck Muria, Stéphane Pillias et Franck Courjou leur prêtent mains fortes pour enseigner aux adultes et aux enfants.
 

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Départ de B. Choulot

Le Dojo

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Au terme de nombreux efforts, les premiers tatamis sont installés rue Paul Doumer près de la voie ferrée dans une ancienne école. La section Aikido naissante sera également logée provisoirement dans un local du quartier des Salmoneries.
Il s'agit là du tout premier lieu d'entrainement pour les adeptes de la pratique.
 
Peu à peu, les tractations se poursuivent entre les dirigeants du club et la municipalité par rapport à l'implantation du dojo et, malgré quelques vagues médiatiques, la première pierre est posée en décembre 1988, sur le site des Trois Fontaines.
 
La section Aikido quitte donc le préfabriqué vétuste et insalubre qu'elle occupait depuis lors pour s'installer dans une vaste salle moderne dotée de 375 m² de tatamis. 
Alors partie du club de judo de la municipalité, l'Aikido prendra place en compagnie de la section gymnastique de l'Alerte Saint Jean, au-dessus d'un bâtiment à caractère commercial.
 
Samedi 4 octobre 2008, le dojo de la ville a été dénommé Dojo Bernard Choulot
 
Le maire de Saint Jean de la Ruelle, lui a rendu hommage, en présence de sa femme Liliane Choulot, elle même grande judokate, de sa fille Véronique et des présidents des clubs de judo et d’aïkido de la ville.
 
Bernard Choulot, après avoir créé une section de ce sport en 1973 au sein du judo club, était professeur d’aïkido à Saint Jean de la Ruelle. Il a formé la plupart des professeurs d’aïkido de l’agglomération.

Vous pouvez visionner nos vidéos sur notre page youtube ou bien ci-dessous.

 

Documents à fournir pour une inscription ou renouvellement 

  • Une fiche de renseignement et une autorisation parentale pour les enfants mineurs (à venir chercher pendant les cours)
  • Un certificat médical

           OBLIGATOIRE

-Pour les nouveaux adhérents, indiquant l’aptitude à la pratique de l’Aïkido.

-Pour les adhérents inscrits à un examen de grade

 

          VALABLE 3 ANS pour les renouvellements de licence.

Le questionnaire de santé doit être rempli et n'avoir que des réponses "Non" cochées. Le cas échéant, un certificat médical est alors requis.

  • 1 photographie (pour les nouveaux adhérents)

Le certificat médical est impératif pour le premier cours.

Téléchargements : Questionnaire de santé

O sensei color

L'Aikido a été créé au 20ème siècle par Maitre Morihei Ueshiba, ou O'Sensei, "Grand Maitre". Il tire ses sources de différentes pratiques martiales venues de la période des samourais, et plus particulièrement du Daito Ryu jujutsu. Il est aussi influencé par la religion, qui en a définie la philosophie.

Maitre Ueshiba est né de Yokoru et Yoki Ueshiba le 14 Décembre 1883 à Tanabé au Japon. C'était un enfant de faible constitution et souvent malade, mais très intelligent. Il étudie le chinois et la religion Bouddhiste sous la direction d'un prètre Zen. Il porte un intérêt marqué à la prière et la méditation. Pour se renforcer physiquement, son père le pousse à pratiquer le Sumo et la natation dès l'âge de 10 ans.

En 1901, il part à Tokyo, où il ouvre une librairie papeterie. Il étudie le Ju-Jutsu au Kito-ryu, et le Ken-Jutsu au Shinkage-ryu. De nouveau malade, il retourne à Tanaka. Quelques temps plus tard, il épouse Itogawa Hatsu.

A 20 ans, il part s'engager dans un régiment d'infanterie, où il apprend le combat à la baionnette. Il quitte l'armée en 1906, et retourne à Tanabé. 

En 1910, le gouvernement japonais lance un projet pour repeupler Hokkaido. Ueshiba décide de partir en 1912 avec sa famille et un groupe de 80 personnes. Ils fondent la ville de Shirataki. La vie est très dure, l'hiver très long, les récoltes mauvaises. Mais la détermination de Ueshiba motive les colons. C'est à cette époque que Ueshiba rencontre Sokaku Takeda, Maitre de l'école Daito de Jujutsu.

Ueshiba l'invite à rester chez lui pour qu'il lui enseigne son art.

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En 1919, il apprend que son père est gravement malade. Il abandonne ses terres à Maitre Takeda et part pour Tanabé. En route, il entend parler de Onisaboro Deguchi, un grand maitre spirituel de la secte Shinto Omoto Kyo se trouvant à Ayabé , près de Tokyo. Ueshiba décide de lui rendre visite. Arrivé à Tanabé, il apprend que son pére est mort depuis 4 jours. Très peiné, il passe de longs mois à méditer et à prier. Il décide de s'installer avec sa famille à Ayabé et entre dans la secte Omoto Kyo. Il ouvre le dojo "Ueshiba Juku" pour les adeptes de la secte. Il y développe sa propre idée du Budo. Sa notoriété grandit, et en 1923, il appelle son art Aiki-Bujutsu. Pendant cet période, il aura souvent la visite de Maitre Takeda. En 1924, il décide de suivre Maitre Degushi en Mongolie pour fonder une communauté utopiste, centre spirituel pour l'amour et la fraternité universelle, selon les principes de l'Omoto Kyo. 

Six mois plus tard, après d'innombrables difficultés, le gouvernement chinois les fait emprisonner. Ils évitèrent d'être fusillés grâce à l'intervention du gouvernement japonais. De retour au Japon, Maitre Ueshiba reprend son entrainement, développant son art, connu sous le nom de "Ueshiba Aiki-jutsu". Sa réputation s'étend à travers tout le Japon. 

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De grands Maitres d'Art Martiaux viennent le voir pour le défier. Jigoro Kano, le fondateur du Judo, envoie ses meilleurs élèves étudier l'art martial qui deviendra "Aikido" en 1942. Il est invité à faire de nombreuses démonstrations dans tout le Japon, et entre autres, devant la famille impériale. Il donne des cours à l'académie de police militaire. Début de la guerre au Japon, Maitre Ueshiba part à Iwama près de Tokyo. 

Il y pratique l'agriculture, et ouvre un dojo, le Hombu Dojo, aujourd'hui sanctuaire de l'Aikido. En 1948, les américains, qui ont interdit toutes pratiques martiales au Japon, autorisent la reprise de l'enseignement de l'Aikido pour son caractère de Paix et de recherche de vérité. L'Aikikai Foundation est officiellement ouvert le 9 Février, dirigé par Kisshomaru Ueshiba, son troisième fils. Le développement de l'Aikido à travers le monde commence alors. 

Maitre Tohei, 10eme Dan et pratiquant de la première heure, est envoyé aux Etat-Unis pour enseigner l'Aikido. De nombreux maitres le suivront dans différents pays. Maitre Ueshiba acquière le titre de O'Sensei et continue à perfectionner l'Aikido. En 1969, Maitre Ueshiba tombe malade. Il meurt le 26 Avril. Deux mois plus tard, Hatsu, sa femme, meurt à son tour. Après Kisshomaru Ueshiba son petit fils Morietu est l'actuel Doshu, ou Maitre de la Voie. Il continue, avec l'aide des grands maitres à travers le monde, à développer l'Aikido, et à diffuser l'esprit de Maitre Ueshiba dans son message de Paix.

Le Dojodojo

Au terme de nombreux efforts, les premiers tatamis sont installés rue Paul Doumer près de la voie ferrée dans une ancienne école. La section Aikido naissante sera également logée provisoirement dans un local du quartier des Salmoneries.
 
Il s'agit là du tout premier lieu d'entrainement pour les adeptes de la pratique.
 
Peu à peu, les tractations se poursuivent entre les dirigeants du club et la municipalité par rapport à l'implantation du dojo et, malgré quelques vagues médiatiques, la première pierre est posée en décembre 1988, sur le site des Trois Fontaines.
 
La section Aikido quitte donc le préfabriqué vétuste et insalubre qu'elle occupait depuis lors pour s'installer dans une vaste salle moderne dotée de 375 m2de tatamis.
 
Alors partie du club de judo de la municipalité, l'Aikido prendra place en compagnie de la section gymnastique de l'Alerte Saint Jean, au-dessus d'un bâtiment à caractère commercial.

 

La section Aïkido

En 1980, monsieur Daniel Simonin prend la présidence du club de judo et participe à la création de la section aïkido (activité sous la tutelle de la FFJDA).
 
C'est Monsieur Bernard Choulot qui est professeur de cette section de 60 adhérants, l'une des plus importante du Loiret.

Samedi 4 octobre 2008, le dojo de la ville a été dénommé Dojo Bernard Choulot.
 
Le maire de Saint Jean de la Ruelle, lui a rendu hommage, en présence de sa femme Liliane Choulot, elle même grande judokate, de sa fille Véronique et des présidents des clubs de judo et d’aïkido de la ville.
 
Bernard Choulot, après avoir créé une section de ce sport en 1973 au sein du judo club, était professeur d’aïkido à Saint Jean de la Ruelle.
Il a formé la plupart des professeurs d’aïkido de l’agglomération.

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